“Dernier appel pour les vivants”, P. Farris, Gallmeister
Dans un braquage, les choses sont simples : un méchant, le braqueur; des gentils, les clients et le personnel. Facile jusque là.
Seulement voilà, Hobe Hicklin, braqueur de notre roman et suprémaciste blanc tout juste sorti de prison va, sans même savoir pourquoi, embarquer un employé de la banque en otage une fois le crime commis. Et c’est là que toute la complexité de la vie, la vraie, apparaît… A travers la relation entre Hicklin et le jeune Charlie Colquitt : une relation qui tend progressivement et contre toute attente vers une forme de complicité.
Un roman fort, complexe, où on ne sait qui aimer et qui détester mais où on peut “comprendre” beaucoup de choses…
– Lucas –