“10 000 L d’horreur pure”, T. Gunzig, Au Diable Vauvert

Un petit ovni où Thomas Gunzig (La vie sauvage) déclare son amour et rend un bel hommage aux films d’horreur de série B. Il nous sert un réjouissant nanar où tous les poncifs habituels du genre y passent avec beaucoup de dérision, des personnages délicieusement caricaturaux et des situations parfois tellement peu crédibles qu’elles en sont cocasses, mais avec toujours une ambiance magnétique !
– Nikita –