“Peau de mille bêtes”, Fert, Delcourt
“Voir son corps fleurir avec son âme et grandir librement dans ses terribles jeux, deviner si son coeur comme une sombre flamme aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux” Baudelaire
Un conte de fée qui invoque Baudelaire, qui nous ensorcelle comme la fée Morgane et nous sidère par sa palette graphique.
La découverte – immense – d’avril est un conte de Grimm !
– Frédéric –
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