“La petite dernière”, J. G. louis/S. Morgenstern, Dargaud

Ciselé par un graphisme qu’on jurerait tout droit sorti de l’âge d’or de la presse américaine, “La petite dernière”, c’est une chronique enjouée et heureuse de l’Amérique radieuse des années 50. On sourit et on admire la maman intelligente et extravagante, on rit de bon coeur des bêtises des soeurs fantasques et bienveillantes, mais bien plus que ça, on découvre le terreau créatif de celle qui deviendra une des plus grandes plumes de la littérature jeunesse du 20è siècle. Délicieux !
– Frédéric –