« Lena-la-très-seule », Maïté Grandjouan, Magnani

C’est la nuit, le téléphone sonne : à l’autre bout du fil résonne une voix du passé.
Des souvenirs grinçants hantent les murs de la petite maison où Lena est venue réparer l’électricité. Un récit tout en silence pour parler subtilement de l’acceptation de son enfance, du pardon et du deuil. Des couleurs lumineuses à la Brecht Evens, avec un scénario aussi glauque qu’un film de Lynch.
Glaçant, beau et puissant!
– Lou –