“Kill Annie Wong”, S. Meralli/G. Henry, Sarbacane

Dans une ville pétrie par le crime et la corruption, il fait bon vivre pour les tueurs à gage. Parmi eux, le discret Enzo a une routine bien rodée : c’est sans un mot, toujours la même chanson dans les écouteurs, qu’il accomplit sa tâche. Tout change quand il reçoit son nouveau contrat : Annie Wong, la chanteuse dont la voix l’accompagne à chaque meurtre…
De crime en crime, les auteurs nous embarquent dans cette histoire délirante dont l’univers urbain n’est pas sans rappeler ceux de “The Grocery” ou “Lastman“. Une chouette surprise graphique avec une identité bien marquée, appuyée par des ambiances couleurs très réussies.
Ce oneshot est digne d’un bon petit film d’action !
– Ju –