“L’école emportée”, Kazuo Umezu, Glénat

Suite à une secousse aussi violente qu’inexpliquée, une école maternelle et primaire japonaise est projetée dans un monde post-apocalyptique désert et hostile. Famine, épidémies, mutations, rien n’est épargné aux élèves et aux professeurs de l’établissement ; mais outre ces complications extérieures, c’est de l’âme humaine elle-même, poussée dans ses pires retranchements, que vient le véritable danger. Rappelant “Sa majesté des mouches”, avant “Battle Royal” et “Dragon Head“, ce survival sur fond de fantastique et de voyage temporel vous emmène droit en enfer, en traitant sous le vernis de l’horreur de sujets sensibles et actuels (deuil, résilience, écologie…). Une série marquante terminée en six tomes !
– Louise –